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EnglishCamion VLRA Acmat vainqueur Paris/Dakar 1981
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Kit complet du camion VLRA Acmat vainqueur Paris/Dakar 1981 à l'échelle 1/48e
Le kit contient:
- Des pièces en résine
- Decalcomanies
- Une planche de photo-découpe métal
- Des axes en métal pour rendre les roues mobiles si désirez
- Des vitres prédécoupées
- Des roues en caoutchoucs
- Une notice de montage avec nomenclature et photos couleurs : Notice à télécharger
Vous pouvez également nous contacter pour avoir ce modèle monté et peint avec le camouflage que vous désirez.
Historique camion VLRA Acmat vainqueur Paris/Dakar 1981
Avec une conception particulièrement ingénieuse, certains véhicules deviennent indémodables. Tel est le cas du VLRA [Véhicule léger de reconnaissance et d’appui], imaginé dans les années 1960 par les Ateliers Legueu Meaux [ALM], puis produit par ACMAT, absorbé depuis par ARQUUS [ex-Renault Trucks Defense].
En 1966, Paul Legueu déménage l’entreprise de son père à Saint-Nazaire et crée les Ateliers de Construction Mécanique de l’Atlantique (ACMAT). Il transforme les VCOM (Véhicules de Combats d’Outre-mer) en VLRA (Véhicules de Liaison de Reconnaissance et d’Appui), véhicules particulièrement adaptés aux besoins des troupes d’outre-mer, des forces spéciales et des jeunes armées issues de la décolonisation.
Le VLRA 2 est une famille de véhicules tactiques légers partageant un même châssis toutes roues motrices, conçu spécifiquement pour les besoins militaires. Évolution du VLRA 1, vendu à 12 000 exemplaires dans le monde, il conserve sa rusticité, ses variantes non électronisées, son autonomie, de même que son châssis à col de cygne surbaissé facilitant son chargement.
La famille VLRA comprend une grande diversité de porteurs logistiques ou de transport de troupes 4x4 et 6x6. Une version Forces Spéciales Torpedo a également été vendue. Le VLRA est déjà en service dans de nombreux pays à travers le monde et est utilisé sur les théâtres d’opérations les plus exigeants.
Décrit comme un véritable « dromadaire mécanique » ou chameau du désert, le VLRA a largement fait ses preuves au sein des forces françaises [tant classiques que spéciales], avec son autonomie de 1.400 km, son endurance, sa polyvalence et ses capacités de franchissement.
Le génie de Paul Legueu a permis de révolutionner la prise en compte concrète des problématiques du soutien pour son véhicule.
Avec peu d'électronique, des pièces facilement démontables et interchangeables entre toutes les versions, une maintenance facilité et sa rusticité, le VLRA est devenu un mythe dans des pays où l'infrastructure de soutien est assez limitée et où la débrouillardise règne en maître.
En 1966, Paul Legueu déménage l’entreprise de son père à Saint-Nazaire et crée les Ateliers de Construction Mécanique de l’Atlantique (ACMAT). Il transforme les VCOM (Véhicules de Combats d’Outre-mer) en VLRA (Véhicules de Liaison de Reconnaissance et d’Appui), véhicules particulièrement adaptés aux besoins des troupes d’outre-mer, des forces spéciales et des jeunes armées issues de la décolonisation.
Le VLRA 2 est une famille de véhicules tactiques légers partageant un même châssis toutes roues motrices, conçu spécifiquement pour les besoins militaires. Évolution du VLRA 1, vendu à 12 000 exemplaires dans le monde, il conserve sa rusticité, ses variantes non électronisées, son autonomie, de même que son châssis à col de cygne surbaissé facilitant son chargement.
La famille VLRA comprend une grande diversité de porteurs logistiques ou de transport de troupes 4x4 et 6x6. Une version Forces Spéciales Torpedo a également été vendue. Le VLRA est déjà en service dans de nombreux pays à travers le monde et est utilisé sur les théâtres d’opérations les plus exigeants.
Décrit comme un véritable « dromadaire mécanique » ou chameau du désert, le VLRA a largement fait ses preuves au sein des forces françaises [tant classiques que spéciales], avec son autonomie de 1.400 km, son endurance, sa polyvalence et ses capacités de franchissement.
Le génie de Paul Legueu a permis de révolutionner la prise en compte concrète des problématiques du soutien pour son véhicule.
Avec peu d'électronique, des pièces facilement démontables et interchangeables entre toutes les versions, une maintenance facilité et sa rusticité, le VLRA est devenu un mythe dans des pays où l'infrastructure de soutien est assez limitée et où la débrouillardise règne en maître.